Phédon Les caractères, introduction. Les Caractères (1688-1696) de Jean de La Bruyère dénonce les vices d’une société où l’argent et les apparences valent davantage que le mérite et la vertu. C’est un portrait pessimiste de l’humanité que dresse La Bruyère dans son œuvre même si le moraliste entend « être utile, et non LesCaractères, un des monuments de la littérature du XVIIème siècle, a ceci de singulier qu'il ne cesse de dévoiler bien des contours fascinants. L'homme de cour, sous son habit d'apparat, dément le sérieux et la magnificence de sa condition de noble. La satire de La Bruyère se focalise sur le milieu mondain. Il y a une vigueur sans pareil dans Analyseet étude de l'oeuvre - Les Caractères de La Bruyère - Réussir son BAC Français 1re 2023 - Parcours associé La comédie sociale - Voie générale - Une oeuvre, un parcours - Nathan - ISBN: 9782091865027 et tous les livres scolaires en livraison 1 jour ouvré avec Amazon Premium Vay Tiền Trả Góp Theo Tháng Chỉ Cần Cmnd Hỗ Trợ Nợ Xấu. Commentaire Littéraire La Bruyère, Les Caractères, De la société », 9 1688 Au XVIIème siècle, La Bruyère choisit de se livrer à une observation critique de la société de son époque. Les Caractères dressent ainsi un inventaire satirique des portraits de la Cour. Le portait d’Arrias est extrait du livre V où l’auteur montre que la maitrise du langage est essentielle pour paraître distingué socialement. Arrias est ici l’homme universel, celui qui fait semblant de tout connaître. Ainsi, nous assistons à sa chute dans le monde de la Cour. Comment La Bruyère compose t-il le portrait d’Arrias et en quoi ce texte est-il burlesque ? Nous proposons, pour commencer, d’analyser le portrait du personnage en lui-même, puis d’étudier l’homme universel dans une situation concrète et enfin d’examiner la portée comique du texte. Dans ce texte, La Bruyère nous fait le portrait d’un homme universel de manière très agencé. D’abord, la composition du portrait suit un ordre logique correspondant à celui du théâtre. En effet, l’auteur présente tout d’abord le personnage comme pour une scène d’exposition au théâtre, ainsi, il utilise l’usage du présentatif c’est un homme universel ». Il introduit le personnage de la première ligne jusqu’à la ligne 3. Puis vient ensuite la situation dans laquelle le personnage est inséré, comme l’intrigue au théâtre. Présenter le personnage lors d’un dîner au milieu de la noblesse, nous permet ainsi d’observer les caractéristiques du personnage. Enfin, La Bruyère nous fait part du dénouement de la ligne 8 à la ligne 16, à travers lequel on assiste à l’échec de l’homme universel. Ainsi, la composition du portrait nous ramène à l’enchaînement du théâtre. Pour montrer la composition du texte, La Bruyère a utilisé plusieurs temps verbaux. On note tout d’abord que le présent de l’indicatif est le temps utilisé sur presque tout le texte. Il est employé sous la forme d’une vérité générale pour déterminer ce qu’est un homme universel. Par exemple Il aime mieux mentir que de se taire » à la ligne 2, est un jugement que tout un chacun semble pouvoir vérifier. Ensuite, l’auteur emploie une succession de verbes tels que je l’ai appris », je connais », j’ai interrogé ». Il s’agit d’un mélange de l’imparfait de l’indicatif et du passé composé lorsqu’Arrias se justifie, pour montrer la fiabilité de ses sources. Plus loin dans le texte, La Bruyère utilise l’imparfait de l’indicatif qui nous sert à différencier le dénouement du reste du texte et indirectement, faire une morale. Ainsi, La Bruyère avait une façon bien particulière d’expliciter le caractère de l’homme universel. L’auteur nous décrit les caractéristiques de l’homme universel puis nous le montre dans une situation concrète pour que nous puissions vérifier ses dires. Le portrait d’Arrias a pour but de critiquer l’homme universel. La Bruyère l’évoque comme quelqu’un qui a tout lu, tout vu et qui fait semblant de tout connaître. Arrias va jusqu’à mentir pour que son image à la Cour reste celle de l’homme qui sait tout. L’assonance de la ligne 2 c’est un homme universel et il se donne pour tel » est là pour porter l’attention sur le thème du portrait. Pour l’homme universel, tout est dans le langage. On le voit essentiellement avec le champ lexical de la parole raconter », discourir », réciter ». De plus, toute sa vie tourne autour de lui-même. On le note par l’omniprésence du il », énoncé par treize fois dans le texte. La Bruyère nous fait ainsi une critique de l’homme universel puis vise à nous montrer ce qu’il est dans la société. Malgré le caractère du personnage, l’homme universel est inséré de façon permanente dans la société. Dans le texte, La Bruyère parle d’Arrias comme un homme qui est souvent à la table d’un grand ». Il se donne donc une grande importance et une belle place dans la société qu’il ne veut certainement pas perdre. C’est pour cela qu’il paraît expérimenté. La redondance Il aime mieux mentir que de se taire ou de paraître ignorer quelque chose » à la ligne 2, nous permet de qualifier l’homme universel de beau parleur. L’auteur utilise aussi une asyndète en supprimant tous les mots de liaison il prend la parole ; il s’oriente ; il discourt ». La Bruyère, une fois de plus, cherche à critiquer la situation pour que nous puissions bien cerner les caractéristiques du personnage et ses aboutissements. L’auteur a écrit le portrait de l’homme universel de manière comique pour que nous puissions nous même nous amuser à observer et juger. Tout d’abord La Bruyère critique la société de son époque sous un registre burlesque. On le voit par la répétition de métonymies pour parler de la Cour. Ainsi, une cour du Nord » devint une région lointaine » puis est qualifié de pays ». Il s’agit aussi d’une gradation en crescendo qu’utilise La Bruyère pour se moquer de la Cour qui voudrait paraître grande. Dans le texte, on peut noter le langage soutenu avec le vouvoiement qui rappelle le domaine de la noblesse. L’auteur cherche à critiquer aussi cette société qui accepte un tel personnage. Il reproche ainsi à la Cour de ne pas toujours se rendre compte des personnalités qui sont à leur table. Dans le texte, Arrias évoque le nom d’un ambassadeur sans le connaître. C’est comme cela qu’il se fait piéger par son propre jeu. L’auteur représente aussi la société de l’époque comme une Cour ou seules les mœurs, les femmes, les lois et les coutumes sont importantes. Les défauts de la Cour provoquent ainsi l’amusement du lecteur par le registre employé par La Bruyère. Enfin, le renversement de situation que provoque l’écrivain conduit à une chute burlesque. Le texte a été écrit en vue de montrer le ridicule de l’homme universel, pris au piège par son propre jeu. La Bruyère utilise le discours indirect pour rapporter les propos d’Arrias et de Sethon afin de mettre en évidence la fin du portrait. L’argumentation d’Arrias de la ligne 11 à la ligne 14 et la métaphore [il] prend feu au contraire contre l’interrupteur » met en avant la ténacité de l’homme universel qui va toujours jusqu’au bout avec plus de conviction. La chute du texte amène aussi le lecteur à sourire car la révélation de Sethon qui est à la table montre qu’une certaine justice est faite. La Bruyère a voulu montrer que des propos non fondés ne peuvent pas rester impunis. La vie d’Arrias changera certainement après ce mensonge démasqué. C’était peut-être son dernier dîner à la cour du Nord. Ainsi, le burlesque de ce portrait rend le texte plaisant à lire. Grâce à l’étude du portrait d’Arrias, nous avons montré l’intérêt du texte qui suit une logique théâtrale. Il s’agit du personnage de l’homme universel, un homme qui fait semblant de tout savoir. Dans ce texte, La Bruyère a également voulu critiquer la société et ses personnalités. Le renversement de situation à la fin nous permet d’en déduire une morale sur les mensonges. Ce texte correspond ainsi à la grande règle du classicisme ; Plaire et Instruire. En effet, le portrait d’Arrias est plaisant à lire et il nous apprend qu’il ne faut pas mentir sous prétexte de se mettre en valeur. Ce texte fait également songer à une fable de La Fontaine, Le Bûcheron et Mercure, où les bûcherons cherchent à tromper les Dieux mais n’y parviennent pas. Enoncé & travail préliminaire Bonjour, J'aimerais que vous m'aidiez a trouver des idées d'axes de commentaire pour cet extrait des caractères de La Bruyère. C'est URGENT merci 12 VIII Je vais, Clitiphon, à votre porte ; le besoin que j'ai de vous me chasse de mon lit et de ma chambre plût aux Dieux que je ne fusse ni votre client ni votre fâcheux ! Vos esclaves me disent que vous êtes enfermé, et que vous ne pouvez m'écouter que d'une heure entière. Je reviens avant le temps qu'ils m'ont marqué, et ils me disent que vous êtes sorti. Que faites-vous, Clitiphon, dans cet endroit le plus reculé de votre appartement, de si laborieux, qui vous empêche de m'entendre ? Vous enfilez quelques mémoires, vous collationnez un registre, vous signez, vous parafez. Je n'avais qu'une chose à vous demander, et vous n'aviez qu'un mot à me répondre, oui, ou non. Voulez-vous être rare ? Rendez service à ceux qui dépendent de vous vous le serez davantage par cette conduite que par ne vous pas laisser voir. Ô homme important et chargé d'affaires, qui à votre tour avez besoin de mes offices, venez dans la solitude de mon cabinet le philosophe est accessible ; je ne vous remettrai point à un autre jour. Vous me trouverez sur les livres de Platon qui traitent de la spiritualité de l'âme et de sa distinction d'avec le corps, ou la plume à la main pour calculer les distances de Saturne et de Jupiter j'admire Dieu dans ses ouvrages, et je cherche, par la connaissance de la vérité, à régler mon esprit et devenir meilleur. Entrez, toutes les portes vous sont ouvertes ; mon antichambre n'est pas faite pour s'y ennuyer en m'attendant ; passez jusqu'à moi sans me faire avertir. Vous m'apportez quelque chose de plus précieux que l'argent et l'or, si c'est une occasion de vous obliger. Parlez, que voulez-vous que je fasse pour vous ? Faut-il quitter mes livres, mes études, mon ouvrage, cette ligne qui est commencée ? Quelle interruption heureuse pour moi que celle qui vous est utile ! Le manieur d'argent, l'homme d'affaires est un ours qu'on ne saurait apprivoiser ; on ne le voit dans sa loge qu'avec peine que dis-je ? on ne le voit point ; car d'abord on ne le voit pas encore, et bientôt on le voit plus. L'homme de lettres au contraire est trivial comme une borne au coin des places ; il est vu de tous, et à toute heure, et en tous états, à table, au lit, nu, habillé, sain ou malade il ne peut être important, et il ne le veut point être. Ce sujet ne comporte aucun échange pour le moment. Vous pouvez intervenir en vous connectant à votre compte. Je me connecte j'ai une dissertation à faire sur les caractères de La Bruyère merci de m'aider au plus vite c'est pour demain j'y arrive pas Oeuvre La Bruyère, Les Caractères , livres V à XParcours la comédie socialeQue révèle La Bruyère sur les relations sociales, à travers son observation du jeu des apparences ?Vous répondrez à cette question dans un développement organisé en vous appuyant sur les Livres V à X des Caractères, sur les textes que vous avez étudiés dans le cadre du parcours associé et sur votre culture personnelle​ More Questions From This User See All Helpful Social Copyright © 2022 - All rights reserved. CARACTÈRES LA BRUYÈRE ANALYSE. Les Caractères ou les moeurs de ce siècle sont publiés en 1688 par Jean de La Bruyère, moraliste classique. Dans cette fiche nous nous proposons de nous interroger de manière synthétique sur la comédie sociale Voir parcours associé et politique dans Les Caractères de La Bruyère et sur le genre même des caractères. Nous essayerons de répondre à la question suivante QU’EST-CE QU’UN CARACTÈRE? En effet, dans Les Caractères, Jean de La Bruyère donne à voir des portraits VOIR FICHE SUR LES GENRES LITTERAIRES dans lesquels l’auteur se livre à une satire des travers humains. Ainsi, le moraliste donne à voir les artifices et le ridicule humain. La comédie du pouvoir Une monarchie de droit divin Effectivement, à partir de la mort de Mazarin en 1661, Le Roi Louis XIV prétend exercer seul le pouvoir. Jusqu’à sa mort en 1715, il façonne cette image de Versailles qui n’est jusqu’alors qu’un pavillon de chasse, devient un lieu de représentation après l’agrandissement et l’embellissement des La Bruyère porte un regard critique sur l’attitude servile et ridicule des courtisans. Il critique également l’exercice du pouvoir de manière ostentatoire. Voir De la cour »Ainsi, La Bruyère dénonce ce spectacle social auquel on se livre à la cour et, en parallèle, dans le cadre de la ville. Voir de la ville » Des inégalités sociales En effet, la société est très inégale au XVIIème siècle. Au faste et à la richesse de la cour, s’oppose la grande pauvreté du peuple. D’ailleurs, cette inégalité économique va de pair avec une inégalité sociale car les privilèges se nouent à la naissance avec les aristocrates, d’un côté, et le petit peuple, de l’autre. Voir Des biens de fortune »Ainsi, La Bruyère dénonce le fait que le mérite et la vertu ne sont pas rétribués. A l’inverse, les apparences et faux-semblants semblent conduire le monde. Les Caractères comédie ou tragédie? Une comédie sociale En effet, les personnages qui font l’objet de la satire sont amusants, Portrait de Gnathon, très savoureux car il amuse en ridiculisant les travers du ce qui amuse le lecteur repose sur les procédés comiques tels que l’exagération ou l’ Voir les portraits de Giton et de Phédon. Une tragédie sociale? Mais La Bruyère se montre également pessimiste. D’abord, concernant la nature humaine et sa noirceur. Citons notamment le règne de l’ Des biens de fortune », 12. Je vais, Clitiphon, à votre porte ; le besoin que j’ai de vous me chasse de mon lit et de ma chambre plût aux Dieux que je ne fusse ni votre client ni votre fâcheux ! Vos esclaves me disent que vous êtes enfermé, et que vous ne pouvez m’écouter que d’une heure entière. Je reviens avant le temps qu’ils m’ont marqué, et ils me disent que vous êtes sorti. Que faites-vous, Clitiphon, dans cet endroit le plus reculé de votre appartement, de si laborieux, qui vous empêche de m’entendre ? Vous enfilez quelques mémoires, vous collationnez un registre, vous signez, vous parafez. Je n’avais qu’une chose à vous demander, et vous n’aviez qu’un mot à me répondre, oui, ou non. Voulez-vous être rare ? Rendez service à ceux qui dépendent de vous vous le serez davantage par cette conduite que par ne vous pas laisser voir. O homme important et chargé d’affaires, qui à votre tour avez besoin de mes offices, venez dans la solitude de mon cabinet le philosophe est accessible ; je ne vous remettrai point à un autre jour. Vous me trouverez sur les livres de Platon qui traitent de la spiritualité de l’âme et de sa distinction d’avec le corps, ou la plume à la main pour calculer les distances de Saturne et de Jupiter j’admire Dieu dans ses ouvrages, et je cherche, par la connaissance de la vérité, à régler mon esprit et devenir meilleur. Entrez, toutes les portes vous sont ouvertes ; mon antichambre n’est pas faite pour s’y ennuyer en m’attendant ; passez jusqu’à moi sans me faire avertir. Vous m’apportez quelque chose de plus précieux que l’argent et l’or, si c’est une occasion de vous obliger. Parlez, que voulez-vous que je fasse pour vous ? Faut-il quitter mes livres, mes études, mon ouvrage, cette ligne qui est commencée ? Quelle interruption heureuse pour moi que celle qui vous est utile ! Le manieur d’argent, l’homme d’affaires est un ours qu’on ne saurait apprivoiser ; on ne le voit dans sa loge qu’avec peine que dis-je ? on ne le voit point ; car d’abord on ne le voit pas encore, et bientôt on le voit plus. L’homme de lettres au contraire est trivial comme une borne au coin des places ; il est vu de tous, et à toute heure, et en tous états, à table, au lit, nu, habillé, sain ou malade il ne peut être important, et il ne le veut point être. » Ainsi, nous constatons que l’argent prévaut sur tout le reste et semble dominer le ailleurs, La Bruyère dénonce les inégalités sociales très Des Grands », 5. On demande si en comparant ensemble les différentes conditions des hommes, leurs peines, leurs avantages, on n’y remarquerait pas un mélange ou une espèce de compensation de bien et de mal, qui établirait entre elles l’égalité, ou qui ferait du moins que l’un ne serait guère plus désirable que l’autre. Celui qui est puissant, riche, et à qui il ne manque rien, peut former cette question ; mais il faut que ce soit un homme pauvre qui la décide. Il ne laisse pas d’y avoir comme un charme attaché à chacune des différentes conditions, et qui y demeure jusques à ce que la misère l’en ait ôté. Ainsi les grands se plaisent dans l’excès, et les petits aiment la modération ; ceux-là ont le goût de dominer et de commander, et ceux-ci sentent du plaisir et même de la vanité à les servir et à leur obéir ; les grands sont entourés, salués, respectés ; les petits entourent, saluent, se prosternent ; et tous sont contents. » Qu’est-ce qu’un caractère »? D’abord, les Caractères se définissent par une forme brève et fragmentée. Cependant, il serait bien difficile et périlleux de les caractériser ou de les résumer d’une le sous-titre ou les moeurs de ce siècle » mettent en relief la dimension morale de l’oeuvre. Rappelons que le XVIIème siècle est le siècle des moralistes La Fontaine avec Les Fables, Charles Perrault avec les Contes, la Rochefoucault avec Les maximes… Tentative de définition de la forme du caractère D’abord, La Bruyère présente son oeuvre comme une simple traduction des Caractères de Theophraste. Or, l’auteur grec, disciple d’Aristote liste 28 comportements humains de la dissimulation », de l’orgueil »…Cependant, le discours sur Theophraste » qui se trouve à l’ouverture des Caractères montre leurs différences. En effet, La Bruyère s’attache à montrer l’homme et ses travers avec davantage de précision que son prédécesseur. D’ailleurs, le sous titre les moeurs de ce siècle » traduisent bien la volonté historique, synchronique, de La Bruyère. Theophraste ne peut montrer les travers du XVIIème siècle alors même qu’il a vécu et écrit dans l’Antiquité. Individu ou collectif? En effet, le sous titre semble vouloir montrer les travers communs à tous les hommes de son le terme du titre, caractères », semble mettre l’accent sur les défauts individuels des uns et des dans sa préface, l’auteur indique ne pas avoir voulu écrire de maximes mais plutôt des remarques ». Ainsi, il s’inscrit dans l’observation et dans la réflexion plutôt que dans l’établissement de lois outre, la forme et le style des caractères varie énormément. Ainsi, l’auteur s’adapte au sujet et fait varier la taille et la forme du à l’économie du recueil, elle se compose de 16 chapitres, chacun constitué d’un nombre variable de caractères. Ainsi, la lecture peut se faire de manière continue ou bien selon un choix de une structure sous-jacente peut-être décelée. Après avoir dénoncé les vices humains, le chapitre 16 rétablit une perspective chrétienne en critiquant les Esprits-Forts les libertins.On note également des effets d’écho entre de la ville »/ de la cour » ou entre des portraits Giton » et Phédon ». CARACTÈRES LA BRUYÈRE ANALYSE conclusion Nous espérons que cette définition du caractère » de La Bruyère a pu t’aider. –Portrait de Gnathon –Caractères de La Bruyère texte intégral + PDF –Biographie La Bruyère –Caractères 27 et 29 texte + analyse Navigation des articles Marketplace Analyse Français Document électronique Lycée 3 pages Description Il s'agit d'une étude linéaire extrait du chapitre VII "De la ville" à la remarque 4 de l'oeuvre "Les Caractères ou moeurs de ce siècle" rédigée en 1688 par La Bruyère et s’inscrivant dans le parcours "la comédie sociale". Cette fiche contient une introduction, l’analyse linéaire sous forme d’un tableau avec titres des parties et des sous parties et une conclusion avec ouverture. Ce document ne correspond pas exactement à ce que vous recherchez ? Commandez votre document redigé sur mesure depuis notre service Commander un document Commander un document ou bien via la recherche par mots-clés Ces documents pourraient vous intéresser Nous utilisons des cookies afin de proposer une meilleure expérience aux étudiants et aux tuteurs. En cliquant sur OK vous acceptez nos bons cookies. 😋

dissertation sur les caractères de la bruyère